- < 60kg : 2 comprimés matin, 1 midi et 1 soir
- > 60 kg : 2 comprimés matin, midi et soir
Durée de traitement recommandée : 1 an
Insuffisance rénale, hypersensibilité à un des composants.
Données rassurantes.
Préférable de ne pas allaiter.
Très fréquents : Diarrhées
Fréquents : nausées, vomissements, douleur abdominale, baisse de la libido, impuissance, prurit, éruption maculopapuleuse.
Surveillance psychique durant le traitement.
1 comprimé une fois par jour
Durée de traitement recommandée : 3 mois
Patients consommant des opioïdes, hépatite aiguë, insuffisance hépatique sévère, insuffisance rénale sévère.
Données rassurantes.
Pas de syndrome de sevrage attendu chez le nouveau-né à la naissance.
Envisageable.
Très fréquents : asthénie, insomnie, douleurs abdominales, nausées, céphalées, syndrome des jambes sans repos
Fréquents : sensation vertigineuse, tachycardie/palpitations, anorexie, diarrhées, polydipsie, hypersécrétion lacrymale, dysfonction érectile et de l'éjaculation.
Surveillance de la fonction hépatique avant et après l'introduction du traitement.
Un demi comprimé, une fois par jour
Diabète, épilepsie, hypersensibilité à l'un des composants, insuffisance d'organe (rénale, respiratoire, hépatique), maladie cardiovasculaire.
Recommandé d'interrompre le traitement et de le remplacer par un autre, y compris en cours de grossesse ;
Pas d'étude bien conduite de tératogénèse.
Informer le patient que l'ingestion d'alcool dans le cadre d'un traitement par Disulfirame entraîne une réaction importante, avec notamment nausées, vomissements, hypotension, sensation de malaise.
Très fréquents : fatigue, céphalées
Fréquents : somnolence, dysgueusie
- Mise en place d'une contraception efficace chez la femme avant l'initiation du traitement.
- Vérification du bilan hépatique avant la mise en place du traitement.
- Surveillance régulière du bilan hépatique car risque d'hépatite les trois premiers mois ;
traitement à arrêter en cas d'ASAT ou d'ALAT supérieures ou égales à 3 fois à la limite supérieure normale.
- ATTENTION aux associations médicamenteuses (voir Vidal) notamment avec les AVK : risque de majorer l'activité antivitamine K et donc le risque hémorragique : surveillance plus fréquente de l'INR.